Pratiquant la photographie depuis l'adolescence, je fus marqué par les photographes de l'après guerre Willy Ronis, Izis, ainsi que Jacques Henri Lartigue – « L'école humaniste ».
J'utilise un vieil appareil télémétrique – du même modèle que celui de Willy Ronis. Plus tard, je fus influencé par Nicolas Bouvier et ses dérives photographiques…l'esthétique du promeneur : associer la photographie et la marche pour entrer en communion avec un paysage, le paysage comme prolongement de l'imaginaire et la marche comme découverte d'un pays et de soi-même.
Laurent Denay.